
Souvenirs / Ricordi
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11 avril 2020 - Gildas BOLLINGER
"Chers Amis et néanmoins collègues",
la formule n'est pas de moi, elle est de Denis Péchoux, qui était le Papa de l'Amicale du Lycée Chateaubriand. "Joyeux compagnons" écrivait-il aussi parfois.
Au tout début de sa dernière année scolaire, lors de la grande assemblée de la prérentrée, au gymnase de Strohl Fern, il a annoncé à tous qu'il cessait d'être le Président Directeur Général Autoproclamé de l'Amicale, puisqu'il prenait sa retraite au mois de juin suivant (2014), et il m'a désigné pour être son successeur, puis il m'a tendu le micro. Alors, pour lui répondre, j'ai proposé une "citation de Balzac" : je me souviens que Balzac disait souvent "je suis Honoré" ...
Quelques jours auparavant, au cours d'un piccolo aperitivo de pré-prérentrée all aperto, il m'avait tout de même informé de son intention et de son souhait que je reprenne le flambeau de l'Amicale. Cela m'avait fichu la trouille, et après un instant de réflexion, je lui ai dit plus ou moins ceci, en contemplant sa carrure : "Denis, regarde-moi bien : après un président comme toi, je ne fais pas le poids, je ne suis pas à la hauteur!" et ça l'avait fait rire, de son rire qui démarrait d'une façon si particulière, comme un ricanement moqueur et affectueux à la fois. Un collègue et néanmoins Ami qui, en plus du boulot, faisait toujours une place importante à l'humour (toujours de bon goût), à la musique, à la fête et aux repas conviviaux ... "il mitico Péchoux" comme disent de lui ses anciens élèves.
Pas facile de reprendre le flambeau de l'Amicale après lui, pas facile surtout en ce moment. Mais c'est tellement important de perpétuer cet état d'esprit de convivialité festive et de solidarité que j'ai trouvé dès ma première année à Chateaubriand et auquel j'ai adhéré très vite, grâce à Denis et à beaucoup d'autres collègues de cette période. Je leur en suis, aujourd'hui encore, très reconnaissant.
J'ai une pensée émue pour son épouse Danièle et pour leur fille Marie, ancienne élève du Lycée Chateaubriand. Des messages ont pu leur être transmis. Impossible pour ses Amis et néanmoins collègues d'être présents physiquement à leurs côtés, en cette période si particulière et complexe, très compliqué aussi d'envoyer une couronne de fleurs (mais on va voir ce que l'on peut faire).
Alors prenons le temps ... Nous organiserons dès que possible, après le déconfinement, quelque chose pour que toutes celles et ceux qui le souhaitent puissent se retrouver et honorer la mémoire de notre cher Denis. D'ici là, des idées germeront et fleuriront certainement pour en faire un beau moment, riche en beaux souvenirs.
Pensées cordiales et solidaires pour chacune et chacun d'entre vous
Amicalement vôtre
et tanti auguri]
Gildas (PDGALC-DHDP, ce qui signifiait à l'époque : Désigné par l'Honorable Denis Péchoux)
12 Avril 2020 - Odile Thierry Floran Yan David DELESTRE
Effectivement [la cagnotte] c'est un bon choix que Denis aurait validé. Merci philis aurait dit Denis Sur ce, nous aurions répondu: je t'en prixunic Salut besov
12 Avril 2020 - Colette Vaute
Merci Danièle et Marie pour cette très bonne idée [de la cagnotte] que Denis apprécierait beaucoup. Je vous embrasse très fort
12 Avril 2020 - Jena Jacques Hery
Des souvenirs merveilleux trop lointains que ton piano t'accompagne !
13 Avril 2020 - Perrine LANDON
Ciao Denis, Tu as été, avec Olivier celui qui m'a permis de rentrer dans la carrière de prof alors que je préparais le CAPES à Rome. Mais ce n'est pas seulement le prof que j'ai en tête quand je pense à toi. Tous les témoignages concordent sur ta joie de vivre, ta générosité, ton "sens de la fête", ta gentillesse...Heureuse d'avoir pu te croiser. Je t'embrasse.
14 Avril 2020 - Simonetta
Non ho foto di Denis ma un immagine di lui che rimane fissa nei miei ricordi: la risata energetica per gli amici, l'umorismo, l'amore per la bella musica e la convivialità. Abbraccio forte Danielè e Marie. Fai buon viaggio Denis Simonetta
14 Avril 2020 - Cinza La Marra
Per Denis
RIPENSO IL TUO SORRISO
"Ripenso il tuo sorriso, ed è per me un'acqua limpida scorta per avventura tra le petraie d'un greto, esiguo specchio in cui guardi un'ellera i suoi corimbi; e su tutto l'abbraccio d'un bianco cielo quieto. Codesto è il mio ricordo; non saprei dire, o lontano, se dal tuo volto s'esprime libera un'anima ingenua, o vero tu sei dei raminghi che il male del mondo estenua e recano il loro soffrire con sé come un talismano. Ma questo posso dirti, che la tua pensata effigie sommerge i crucci estrosi in un'ondata di calma, e che il tuo aspetto s'insinua nella mia memoria grigia schietto come la cima d'una giovinetta palma.."
. Eugenio Montale
14 Avril 2020 - Michèle Bouygue
Quand tu entrais dans la salle des profs, Denis, tu nous communiquais à tous, ta gaieté, ta joie de vivre, ton rire tonitruant, ton humour bienveillant, ta généreuse amitié et que sais-je encore....cette bouffée chaleureuse de bonne humeur, nous aimerions la partager encore avec toi, où que tu sois.... Merci Denis.
14 Avril 2020 - Olivier Spiesser
DENIS L’HOMME DE CULTURE
Denis avait une grande culture, littéraire, historique, artistique, musicale.... Denis fait partie de cette génération qui lit beaucoup et qui écoute la radio mais pas n’importe quelle radio : France Inter, France Culture, France Musique. Avec la disparition de Denis, France Inter perd un de ses plus fidèles auditeurs…Charline va se sentir bien seule ! D’ailleurs on ne peut pas avoir de l’humour sans culture. il préférait Pierre Desproges à Michel Leeb, il préférait Raymond Devos à Jean Roucas, Il admirait Pierre Dac , Fernand Reynaud, Coluche, Francis Blanche… Un homme cultivé, féru de littérature, grand lecteur de romans, de policiers…Il avait une grande admiration pour Marguerite Duras, Agatha christie, Georges Simenon…mais il lisait aussi les grands textes. C’est avec cette culture littéraire qu’il pouvait jouer avec les mots. Je vous rappelle qu’il était devenu Professeur de Mathématiques après avoir réussi brillament son bac littéraire… Ses nombreuses blagues étaient souvent d’une grande complexité, il fallait réfléchir avant de les comprendre….D’ailleurs quant on ne comprenait pas ses bons mots, il se mettait en colère et il nous traitait de jeune con…et il avait raison !! L’homme de culture, une grande culture qui ne la gardait pas pour lui, qui partageait avec les copains, avec les collègues, merci Denis pour ta grande générosité.
DENIS LE SPORTIF
Denis a fait beaucoup de sport dans sa vie. Et là je vais vous parler d’un temps quel les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître….Strohl-fern en ce temps là…c’était notre lieu de travail mais aussi notre club de Tennis. Et Denis a beaucoup joué au tennis, on peut même dire qu’il avait une passion pour le tennis. Ses partenaires s'appelaient Michel, Philippe, Pascal, Frédéric, Olivier, Jean-paul, Guy, Danièle,Marie, François,Christian, Henry, Marie Do, Jackie, Laurent... Un bon joueur doté d’un service redoutable, d’un revers coupé parfaitement maitrisé, jamais de faute en revers... Bon c'est vrai, le coup droit il fallait aller chercher les balles à l’extérieur du court dans la végétation de strohl-fern !! Son comportement sur le terrain ? Comment vous dire ? Il était plus McEnroe que Borg !! Sur le terrain, il était combatif, hargneux, il n’aimait pas perdre, il était offensif, il montait au filet, il avait une bonne volée. Ses points faibles : ses déplacements sur le terrain et surtout jouer le dimanche matin tôt…Merci Denis pour tous ces moments partagés en simple, en double dans ce parc de strohl-fern, match toujours suivi d' une bonne bouffe bien méritée...
14 avril 2020 - Catherine et Dominique
Pour les moments lumineux passés ensemble : histoires presque belges, calembours approximatifs (les meilleurs !), soutien indéfectible dans les périodes difficiles, discussions politiques et syndicales (et culturelles et sociales et… et … et), pour la célèbre rue Dugommier, pour s'être fait interpeler par Coluche ("il y a des antisyndicalistes primaires dans la salle") suite à un de tes éclats de rire, pour avoir eu les plus beaux témoins du monde à notre mariage, pour des dizaines d'années d'amitié,
Denis tu restes au chaud dans notre affection
Catherine et Dominique
14 avril 2020 - Marco Chambon
Il est toujours difficile de se quitter, surtout quand on a partagé tant de moments ensemble, traversé un bout de vie avec des êtres hors du commun. Tu fais partie de ces gens qui forcent la l'admiration et donnent envie de devenir leur ami au premier contact. Ça a été le cas pour moi lorsque je suis arrivé à Rome il y a un peu plus de 17 ans, comme pour Monica qui se souvient des mots gentils que tu as eu lorsque tu la rencontrée pour la première fois, ça a été aussi le cas ici à Anzio où en quelques mois à peine tu t'es lié d'amitié avec tous ceux que nous t'avions présentés, tous nous ont fait part de leur émotion de savoir que tu avais tiré ta révérence à peine avoir fait connaissance et tous regrettent déjà ton humour, ta gentillesse, bref tout ce qui te caractérise. Nous étions si heureux lorsque tu nous a dis d'avoir l'intention de vous installer à Anzio avec Danièle, et tellement contents d'avoir pu profiter depuis de ces moments d'amitiés, d'apéros, de bouffes, de rires, de complicité... Je n'arrive pas à parler de toi au passé, j'ai l'impression parfois d'entendre ton rire énorme... je sais que tu vas me manquer, terriblement, tu laisses un vide immense et je ne suis pas le seul à le penser. Salut mon Denis
14 avril 2020 - Laurence Garnier
Mon adorable Denis, que de souvenirs, de rires, de complicité, de confidences, d'émotions partagées avec toi, toujours soit à l'écoute des autres, soit prêt à demander conseil, à réfléchir, à échanger ... et cela nous ramène à plusieurs années de notre jeunesse, on était si proches, si complices, tu étais si loquace et pudique à la fois, si fort et si tendre, si combatif et si doux, si sincère et si drôle. Nos interminables soirées de folie, nos vacances si intenses, nos échanges sur la psychologie, sur la recherche du changement (voire des paradoxes) et puis ces rires, tes rires, ton rire, ton sourire à faire fondre la banquise ! Sont venues plus tard les années de silence sans jamais d'oubli, et puis les retrouvailles il y a moins de 6 mois, comme si on s'était vu la veille. Et ce mail d'il y a moins de 10 jours pour m'assurer que tu te battais.... Tu m'as manqué, tu me manques et tu nous manqueras toujours. Baci comme tu l'écrivais à la fin de chaque mail. De tout coeur avec ma chère Danièle, Marie et toute la famille et les amis. Laurence
14 avril 2020 - Suzy Gau Guichard
Une pensée pour toi, Denis, qui a emporté ton rire communicatif ta présence chaleureuse ... et ton panache! Une pensée pour vous deux , Danièle et Marie je garde un souvenir heureux d'une soirée d'amitié, pour mon départ de Rome: sous les étoiles d'une nuit romaine digne de l'Age d'Or, sur la terrasse de Françoise et Laurent, je revois les sourires de Denis et Danièle, au milieu de ceux de tous les amis de "Chato"; j'entends les musiques de danse, les bruits de verres et d'assiettes, et les rires de tous... et le tien , Denis, celui du chef d'orchestre, montant dans la nuit bleue.
14 avril 2020 - Olivier Daurelles
ai pris le poste de Denis lorsqu'il est parti à la retraite, mais jamais sa place. Nous n'avons donc pas vraiment eu l'occasion d'être collègue, néanmoins nous avons été amis.
14 Avril 2020 - Isabelle Lemâitre
De tout cœur avec vous, Affectueusement, Isabelle et Frédéric
15 avril 2020 - Marie-Noël Lefevre
Denis, un matheux, un artiste, un musicien passionné de jazz. Un homme bon, plein d'humour, l'amour de la vie, un véritable esprit de camaraderie et un grand sens de l'autre. Une grande créativité. Je me souviens que tu avais créé avec Johanne, Gilles.... une comédie musicale: « On se calme». On ne s'ennuyait jamais avec toi. Denis, c'est un privilège d'avoir croisé ta route! Merci!
15 avril 2020 - Axelle
Un homme exceptionnel, un père , un mari, un grand frère, un tonton et un grand tonton génial ! Attentif, drôle, des jeux de mots légendaires ! Ne laissant aucune place a la moindre faute de français (; on rapporte quelque chose! Et on ramène quelqu’un !!! )Un puit de science comme l’était sa maman, notre grand-mere...Un passionné !Beaucoup de choses, d’enseignements, de rires de bonne humeur, de risotto et « de conneries » qui resteront gravées en nous . Notre famille perd un être cher, un pilier, un rire.... mes frères et moi perdons notre tonton adoré Dont chaque visite était une fête . Je t’aime fort et je pense a vous Marie et Daniele et mon papa qui a perdu son grand frère et a toute les nombreuses personnes qui ont croisé sa route et l’ont aimé .... Ciao zio❤️
15 avril 2020 - Quentin
Difficile de décrire par des mots les moments passés avec Denis pendant les répétitions de Jazz. des sensations pures, pleines de fausses notes et de gaité, des moments magiques d'unisson, la pizza, les bières, les blagues... J'ai pu connaitre quelqu'un avec une passion profonde et qui a contagié les autres, touts ceux des "Chaussettes Vertes", mon père et quelques amis et visiteurs de passage... et puis tout le reste, le lycée, les diners ensembles en famille, merci pour tout ça Denis! Quentin
15 avril 2020 - Elodie
Denis est avant tout un ami de famille, il m'a connu toute petite, il a même été mon prof. J'avais tellement honte car les maths ce n'était pas mon fort mais aussi car son intelligence était si vive qu'elle était palpable dans l'air. Mais il avait tellement d'ironie et de bonne humeur que même un cours de maths devenait une expérience mémorable. J'ai plein de souvenirs lors des dîner de nos parents avec Marie et je n'ose pas imaginer la quantité de rires qu'il y a eu entre Denis, Danièle, ma mère et les autres amis. Ciao Denis!
15 avril 2020 - Fred
Malheureusement aujourd’hui nous ne pouvons pas participer aux funérailles, alors j’écris ces quelques lignes… En octobre 1990 , Il y a 30 ans tu fondais les Sponge et tu en étais l’incontesté « Maestro » : avec Andrea , les seuls membres présents depuis l’origine, nous sommes un peu orphelin. Depuis 30ans ,quasiment toutes les semaines nous nous retrouvions pour une pizza , quelques bières et 2/3 heures de musique. Les Sponge … C’est une myriade de musiciens : Andrea (Batterie) , Jean Paul (Guitare) , Henry (Guitare ), Marc (Basse) , Claude ( Piano) , Guido (Guitare) , Antoine(Guitare), Quentin (Violon) , Marc (Sax), Olivier (Trompette), Gildas (Guitare), Guido(basse) , Michel (Guitare), Olivier(Trompette), Jean Marc (Guitare), Francois (Trombone) ,Bruno (basse) , franco( Flute) et j’en oublie…
Ce sont aussi des lieux : Il y a eu surtout la cave de Strohl Fern (que nous avions repeint pour le premier concert) avec Michel l’intendant qui venait nous écouter en apportant toujours une bouteille de vin , le Timba , la Scuola del Testaccio , des salles perdues sur l’Aurelia ou la salaria dont je ne me rappelle plus le nom , le Music All. Ce sont des dizaines de morceaux plus ou moins bien interprété : jazz , blues , Rock , variété. je cite au hazard : All blues, My favorite Things, Pythecantropus Erectus, Footprint , maiden voyage ,Blue Monk, Liberated brother , sponge, Neige, Moon dance , Sweet home Chicago ,Down in the Hole, Glory Box, Venus , la fille du père noel , idées noires… Bien sûr tu préférais un certain type de jazz ou de rock qui favorisait les échanges , les improvisations et le feeling entre musiciens , mais tu nous as brillamment accompagné dans les autres styles de musique (que tu appelais ‘Musique de merde’ ) Sans toi je n’aurais jamais pu connaitre cela. Malgré ton niveau et ta culture musicale , tu acceptais que des débutants, comme moi , puisse jouer à tes cotés. Et Surtout tu nous encourageais à sortir le meilleur de nous-même , nous faisant oublier nos réels limitations techniques. Avec ton légendaire sens de l’humour, c’est ce côté humain , rare , unique qui me manquera le plus. Au-delà des sponge , je me rends compte que tu étais toujours présent dans les moments importants de ma vie La légende dit que c’est toi qui aurait favorisé ma sélection comme coopérant à Chateaubriand en voyant Saxophone écrit dans la rubrique hobby de mon CV Tu m’as ramené ma première voiture (la polo Rouge) de France. Vous Etiez présent avec Marie et Danièle lors de la fête ou j’ai connu Paola Tu as fait le discours en Français lors de notre mariage… En fait Je savais que si j’ avais un vrai problème ou besoin d’un conseil , d’une aide , je pouvais compter sur toi. Pour tout cela , Encore merci Denis .
PS : qui fera ,maintenant, pour la millième fois, la demande: ‘On s’encule ou on prend le train ? moi vous savez les voyages…’
15 avril 2020 - Jérôme Cholvy
Denis, je me rends compte que beaucoup se souviennent de toi pour ton accueil. Pour moi, c'était sur la terrasse de Patrizi, avec une définition du zeugme que je n'ai jamais osé ressortir en classe, un grand rire et une grosse paluche sur l'épaule, manière de me signifier que j'étais à casa. J'arrivais à Chateaubriand, je ne savais pas si c'était du lard ou du cochon, ce que j'ai vite compris c'est que c'était souvent du lourd, qui allait de pair avec une immense générosité, une attention aux autres et un goût de la vie communicatif. Je me promettais de te revoir à l'occasion d'une de tes étapes à Pavia. Ce sera pour une autre occasion. Je souhaite que là où tu ailles, il y ait un piano, des copains et quelqu'un pour te mettre tout de suite à l'aise. Sinon ce sera encore à toi d'assurer l'ambiance. Ciao Denis.
15 Avril 2020 - Francesco Tolicetti
Adieu Denis, je retiendrai de mes six années romaines ton accueil, ta bonne humeur, nos repas conviviaux, nos tennis parfois, nos réunions SNES où ton expérience du syndicalisme fut fort utile au débutant que j'étais. Mes deux enfants t'ont eu comme "prof de math" et sont bouleversés par ta disparition, toutes nos pensées à Danièle et Marie en ce moment inimaginable.
16 avril 2020 - Thierry Letessier
Ca fait 55 ans que je connaissais Denis, juste le temps pour nous deux de passer d'une puberté tardive à une sénilité précoce. Il faut dire que le temps passait vite avec Denis dont je disais qu'il était "toujours assoifé mais rarement imbuvable". Comme on habitait assez loin l'un de l'autre, j'avais pris l'habitude de m'inviter chez les Péchoux une semaine chaque année à Rome. C'est à ces momments que Denis se transformait en guide prodigieux et partageait ses grandes connaissances. Question cuisine, il ne se débrouillait pas mal non plus! Il y a a 3 ans, on est allés à Capri. Il commencait à manquer sérieusement de souffle mais il était plus occupé à ajouter de la vie aux années que des années à sa vie. Un de ses derniers mots dans son dernier mail a été "Basta": il avait l'habitude de penser ce qu'il disait.... et lycée de Versailles. Je l'aimais beaucoup.
16 Avril 2020 - Marido Gazel
Le pub de Pavie est en deuil.....moi aussi.
Denis, le poids de ton absence pèse de tous les rires et de toutes les larmes partagés depuis plus de trente ans.
Ne plus se voir ne plus se rire, est simplement inconcevable.
Mais au-delà du seuil où tu nous as laissés, j'entends déjã le bruit joyeux des bouchons qui sautent.
L' au-delà va devenir plus drôle!
Un abbraccio a voi, Daniele et Marie....
A dopo
17 Avril 2020 - Zaher Ounis
Bonjour Mes plus douces pensées vous accompagnent. Je me souviendrai toujours de son rire.. Zaher, un ami et néanmoins collègue..
17 avril 2020 - Jean Jacques Hours
Denis, notre colosse au cœur fragile est parti. Avec son élégance et sa pudeur, quelques jours après un dernier message pour nous rassurer .Choc et sidération, cela n'est pas possible et pourtant.....
les agapes du midi au Disco Volante cette équipe de maths si soudée qu'on l' appelait la dream team
Ta volonté d'intégrer les nouveaux arrivants
Les pots d'adieux aux partants
Les répliques des Tontons flingueurs
Cette chaleur humaine à laquelle personne ne résiste
Et ce rire énorme
Tout cela on te le doit et tant d'autres choses
Tu dois être impressionné de voir ce besoin de rassemblement de tous tes amis autour de Danièle et Marie pour pouvoir parler de toi.
C'est toi ce fédérateur qui a construit tout cela.
Merci aussi pour la semaine passée ensemble avec Danièle et toi à la Réunion l'an passé: de si doux moments..
Salut mon ami, merci de t'avoir connu et aimé
17 avril 2020 - Alexandre Mokrane
Cela va faire 20 ans que j'ai quitté le lycée Chateaubriand, et pourtant je me souviens encore très bien des cours de monsieur Pechoux, notre prof principal. Et non seulement il était doué pour captiver et faire régner l'ordre parmi la bande de petits sauvageons que nous étions. Mais pour ma part il m'a donné le goût des mathématiques et des sciences, forgeant l'homme que je suis devenu. Je me rappelle de son côté bienveillant et de ses boutades, mais aussi de son lancer de craie légendaire pouvant faire taire n'importe quel élève à distance. Un grand professeur, et sans nul doute un homme bon.
Bon courage et mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Alexandre Mokrane (ancien élève de Denis Pechoux)
17 avril 2020 - Isabelle Lemaitre
Il y a quelque temps, j'ai retrouvé les photos de votre mariage. Malgré les années, les
impressions étaient restées intactes.
Toute petite, j'étais fière d'ouvrir la marche devant vous.
J'étais heureuse ce jour-là parce que vous étiez les «Grands», mais aussi parce que vous
étiez beaux, et que vous alliez si bien ensemble.
Et puis vous faisiez déjà tellement rêver avec vos envies d'ailleurs.
J'étais fascinée par vos choix de vie ouverts sur les autres, en quête de nouvelles contrées.
Denis, tu as fait de ta vie un voyage et tu as su en profiter.
Tes traits d'humour, ton art pour manier le verbe, tes réparties subtiles et drôles ponctuées
par ton rire, résonneront longtemps dans mon esprit.
C'est un honneur de t'avoir connu, et ce n'est pas un vain mot !
Quelle chance d'avoir pu passer un long moment chaleureux en famille avec vous
dernièrement. Je n'oublierai pas ces instants précieux, ces moments simples et si
conviviaux.
Je pense fort à vous, Danièle et Marie.
Isabelle.
17 avril 2020 - Michelle Lamouroux
J'ai appris avec beaucoup de peine la disparition de Denis, Il occupe toujours une place importante dans mes souvenirs romains. Sa présence chaleureuse ,sa générosité, sa gaieté, ses plaisanteries ont marqué le temps et l'espace que j'ai traversé avec lui. C'est lui qui m'a accueillie comme collègue lorsque je suis arrivée à Rome et je me souviens de cette longue promenade où il m'a raconté le lycée et le groupe de maths qu'il animait . Mes pensées vont à Marie et Danièle auxquelles j'adresse mes affectueuses condoléances et mon chaleureux souvenir.
17 avril 2020 - Les pépés bridgeurs
Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand le premier manqua a bord
C'est qu'il était mort
Oui, mais jamais, jamais voilà
Son trou dans l'eau n'se refermera
Tant qu'on vivra, putain de jour
Il manquera toujours
18 avril 2020 - Marie-Christine laporte
C' est dur de synthétiser 30 ans d'amitié en quelques lignes....Donc voici un message abscons pour initiés: pour ma part, Peach je continuerai en ta mémoire à remercier Phyllis et à évoquer un certain Burt Lancaster dans certaines circonstances.
Salut mon pote ! Et vu que tu m' a accompagnée dans plusieurs tributes rock...je te dis Rock In Peace.
18 avril 2020 - Michel Bédouin
Son départ si brutal est un choc pour nous tous. Chez les Sponges aussi, bien entendu. Rejouer sans Denis semble totalement saugrenu. C'était le chef, c'était l'âme du groupe, son créateur. Exigeant mais aussi bienveillant avec les moins doués comme moi, insufflant la fameuse dynamique, distribuant les regards pour le prochain solo et gare à ne pas le louper ce regard, sinon ça valait un tonitruant “putain, on se regarde quand on joue de la musique!”, distribuant d'affectueux "connard" (le "connard"qui, pour l'initié, ne sonnait pas comme une insulte mais comme un adoubement. Il fallait être pote pour se faire traiter!), laissant un instant le piano pour jouer le chef d’orchestre au milieu de la salle à grands coups de grimaces et de moulinets de bras.... sans quoi on allait massacrer la fin de Sweet Home Chicago. On n’en voudra pas au piano de la salle de répet de ne pas le regretter quand, les bons jours, quand le morceau montait en régime, quand la dynamique prenait, les doigts, les mains ne suffisaient plus et il achevait le crescendo à coup de coudes, à coups de pieds (ça c’était il y a quelques années). Du free Péchoux. C’était bon. Sa présence. Naturelle. Comment on fait maintenant?
Une bonne répet ça se prépare. La pizza, une bouteille, un Fernet. Le plaisir d’être ensemble. A l’époque, il y a quelques mois seulement, ça semblait normal, rien de spécial, juste une pizza avant d’aller jouer. Pourtant je me dis qu'on n'a pas assez chéri ces moments là, qu'on était pas assez conscients que c'était des moments précieux. Et maintenant comment on fait? On prend le train? Mais lui, les voyages, vous savez...
18 avril 2020 - Etienne Kast
Lundi de Pâques 2020, j'écoute du jazz toute la soirée, j'ouvre mon mail, Péchoux est parti.
Je suis effondré. Péchoux est parti. Je ne pensais pas que ce genre de choses soit possible.
Premier contact. Je suis enfant, ma mère a fait à manger, "hmmm c'est très appétissant" lance quelqu'un. Mon frère lance "hmmm c'est même quatorze appétissant". "Ha ! Ca c'est une blague de Péchoux !" entends-je, et partout autour de moi l'ambiance change, l'oeil de mon frère pétille, les sourires intérieurs sont sur les visages, pas besoin d'en dire plus, son âme a imprégné l'atmosphère d'une joyeuse ambiance.
Adolescent. Péchoux, l'ami de mon père Robert. Il me fait presque peur, avec sa puissance, avec ses "connards". Ho, pas des insultes à deux balles, non, des "connards" bien francs du collier. Des "connards" pour masquer l'affection, des "connards" parce qu’il a bien du en connaître des vrais connards, ça se voit à ses paupières, une façon de prévenir que ça existe.
Les mois précédents, l'ambiance avait été lourde chez Robert, emplie de nos deuils, sans même plus qu'on s'en rende compte. Et puis un jour, je vois mon père métamorphosé. Il se tient droit, le pas alerte, il range une table par-ci, son armoire par-là, il a cuisiné une viande. Sur son visage, point de sombres pensées, mais une attention détachée, légère, à ses activités. C'est le printemps, vraiment, tout à coup. Il doit avoir 25 ans papa. "Ha, au fait, y a Péchoux qui vient aujourd'hui, il arrive d'Italie", me dit-il, l'air de rien.
Dans mes yeux de fils, j'ai compris que mon père avait un Ami. Et à quel point ça compte dans une vie.
Péchoux, c'est Péchoux ! C'est l'art d'appeler quelqu'un par son nom de famille. C'est une façon de masquer un peu la tendresse infinie que l'on a pour lui. C'est ainsi que mon père l'a toujours nommé en ma présence mais je suis sûr que c'était Denis, quand ils finissaient la soirée, à parler de leurs choses à eux, devant une bouteille de Whisky.
Une crise de rire mémorable à trois, lorsqu'un matin l'un des deux me raconte comment l'autre est tombé du bateau, dans l'eau du port, la veille au soir, après quelques bouteilles sans doute, et comment il a eu le temps, se sentant tomber, de délicatement ôter de sa poche intérieure son portefeuille pour le déposer sur le bord du pont avant de chuter lourdement. Je ne sais plus qui était qui.
Je sais juste que ce qui émane d'un Homme est une partie de son âme, que l'on s'en imprègne. Que tout ton Amour, toute ta Tendresse pudique sera avec nous pour toujours. Merci.
A l'enterrement de Robert, tu as traversé toute la Gaule Cisalpine en quatrième vitesse, et en costard, pour arriver à l'heure. Et, tant mieux, tu irais voir Marie à Montpellier après. Que ta présence a été précieuse, qu'à ton costard nous nous sommes appuyés. Tu as payé les boissons et tu es parti.
C'est un sacré désarroi d'être empêché de venir à ton enterrement. J'ai fait vœu de venir te voir à Rome, alors je le ferai. Ton sourire dans le cœur, j'irai voir Rome. Merci pour tout ce que tu as donné autour de toi, nous en gardons précieusement l'enseignement.
18 avril 2020 - Danielle Lavigne
Denis un être sensible, généreux et talentueux, malgré les années et la distance il était et restera mon ami. Je vous entoure d’amour, de paix , du courage que ça vous prendra pour combler ce grand vide qu’il vous laisse, mais en même temps de ce qu’il avait de meilleur en lui.
19 avril 2020 - Roberto Deli
19 avril 2020 - Nicolas Péchoux
Des souvenirs avec cet homme qui a illuminé les plus belles journées de mon enfance quand, lors de nos retrouvailles en famille, il savait si bien nous gratifier de son esprit si vif, fantasque, lucide, voire brillant : j'en aurais évidemment beaucoup à vous conter
Mais ce que j'aimerais partager avec vous, loin des envolées lyriques à la sainte table familiale, entouré d'un parterre tout acquis à sa cause, c'est quelque chose de plus intime que j'ai partagé avec lui, il y a une quinzaine d'années, plusieurs étés successifs. Denis se rapprochait alors de l'hiver, hélas bien trop tardif, où il a décidé d'arrêter la cigarette. Je n'avais jusque là, pour ainsi dire, jamais eu l'impression d'avoir jamais eu "pour moi tout seul", ce tonton que j'aimais et admirais tant, et ce depuis toujours, le partageant toujours avec les autres membres de notre fratrie.

Or, pendant ces quelques lumineuses semaines, dans cet endroit que j'ai tant aimé, j'ai eu le privilège de partager au quotidien les pauses Ricard-(cigarette) qu'il faisait seul, sur ce perron qui trônait devant l'entrée principale de cette chère cambuse qui nous fait tant défaut depuis le départ des grands-parents. Moi qui n'avais jamais véritablement échangé que des fadaises ou des propos légers avec lui, faute d'un contexte se prêtant à plus de sérieux ou de profondeur, j'ai eu l'occasion d'échanger avec lui au sujet de nombre de questions ou de thématiques me tenant à coeur. Ainsi m'aura-t-il fait deux grands cadeaux, en lisant d'une traite la première pièce que j'avais écrite au bord de la piscine, un après-midi, quelques années plus tôt, avant de me confier avoir été touché par son contenu. Puis, il aura eu la générosité de se dévoiler, tout en m'écoutant, et en partageant avec moi des mots plus profonds et riches de sens que ceux habituellement échangés au détour de quelque blague ou autre calembour qui, évidemment, faisaient partie intégrante de son personnage et de son charme.
C'est finalement à une autre facette de l'homme que j'ai alors eu accès. J'aimais déjà le fantaisiste, l'analyste politique capable de refaire le monde au détour d'un débat improvisé portant sur un sujet d'actualité. Mais, d'une certaine façon, j'ai peut-être été encore plus heureux de faire également la connaissance de l'homme sensible, bienveillant, soucieux des autres, et de comprendre, non de juger.
19 avril 2020 - Philippe
Il y a des moments où on aimerait croire en l'au-delà, pour que tu puisses entendre tous ces messages d'amitié et récolter tout ce que tu as semé.
Chacun apporte sa petite pierre, tous convergent vers un meme portrait, celui d'un homme généreux, vital, courageux, et qui ne se prenait pas au sérieux. Auto-ironie est le mot clé. La dernière vignette du que tu nous avais envoyée, celle du Canard, geste qui aurait sans doute eu l'approbation de Desproges que tu aimais tant... Quel courage, j'en ai eu froid dans le dos.
Et au cas, malheureusement probable, où l'au-delà n'existerait pas, que tous ces messages puissent, auprès de Danièle et Marie qui a les memes yeux malicieux que toi, combler un peu le grand vide que ta disparition laisse.
A Dieu, Denis, mon grand frère adoptif, que j'admirais pour tout ce qui a été déjà écrit, je ne t'oublierai jamais.
20 avril 2020 - Monette et Jean-Paul
Nous avons tant de souvenirs ensemble autour de la famille PECHOUX ( sorties au ski, mariages, naissances, fêtes diverses).. Tu faisais partie de notre famille de coeur. Ta disparition nous choque et nous peine terriblement.
Ton franc parler cachant une grande sensibilité va nous manquer.
Nous pensons à Danièle et Marie.
21 avril 2020 - Guilhem Almanza
Que de bons souvenirs avec Denis, un repas mémorable dans le bureau de l'informaticien pour le départ d'un collègue, un boeuf musical de fin d'année où j'ai été convié lors de ma première année à Chateaubriand, une bière prise avec la regrettée Élodie dans ce pub où l'on peut encore fumer et où j'avais commencé à le connaître. Je pense aussi à toi Marie car il m'avait dit que tu bossais à l'hôpital de Béziers, ma ville d'origine et donc sans te connaître, je me sens proche de toi et je pense fort à vous.
21 avril 2020 - Delors Koyo
Bonjour,
Mon dieu quelle triste nouvelle, il y a 15 ans j'ai eu monsieur Péchoux comme prof de mathématique en 1ère et en terminale au Lycée Chateaubriand. C'était vraiment un de mes profs préférés, d'une rare gentillesse, et surtout d'un charisme extraordinaire. J'aimerai offrir mes plus sincères condoléances à toute la famille, que la terre lui soit légère. Il peut reposer en paix il a formé des leaders d'exceptions.
Toute la famille Koyo.
21 avril 2020 - Laurent Fouilhac
Denis occupe une place à part dans le cœur de chacun d'entre nous car c'était quelqu'un d'unique.
J'ai fait sa connaissance au lycée Chateaubriand lors de la rentrée scolaire 1994. Fraîchement débarqué de Marseille, je m’apprêtais à entamer mes 16 mois de coopération dans le cadre du service national en tant qu'informaticien du lycée. Ce fut un agréable choc. Avec Denis et sa bande de joyeux drilles inutile de dire combien cette période fut difficile, à tel point que j'ai fait en sorte de la prolonger le plus longtemps possible.
D'ailleurs je suis resté à Rome bien des années après l'heureuse parenthèse chateaubrianaise et Denis a toujours été là, tel le repère cartésien on savait où le trouver et on pouvait compter sur lui, sur sa générosité, sur sa sincère amitié.
Tant de choses me reviennent en mémoire alors que j’écris ces mots, c'est très difficile de réaliser qu'il nous a quitté.
J'aimerais citer Pythagore qui, comme aurait dit un humoriste cher à Denis, n'a pas écrit que des conneries mais également ceci : "les amis sont des compagnons de voyage, qui nous aident à avancer sur le chemin d'une vie plus heureuse". Alors merci à toi Denis pour avoir été ce formidable compagnon de voyage.
22 avril 2020 - Eva Bech
Ca fait 46 ans que j'ai fait la connaissance de Denis et Danielle. Nos rencontres depuis ont été espacées, mais chaleureuses.
Il y avait beaucoup de jeux de mots que je ne comprenais pas, étant norvégienne, mais la gentillesse de Denis n'avait pas besoin de traduction.
25 Avril 2020 - Odile
Aujourd'hui, grand soleil en Normandie ! Tu aurais apprécié. Réchauffement climatique oblige, je caressais l'espoir que vous veniez Danièle et toi vous installer dans le coin, près de Marie aussi, bien sûr ! On aurait pu faire une orgie (en tout bien, tout honneur) d'apéros, bouffes, ballades, déconnades et tutti quanti. Bon, on t'aurait quand même laissé faire la sieste parce qu'on est plutôt sympas et on a de l'empathie pour les personnes âgées. Du coup, je me sens un peu orpheline et sidérée par cette absence soudaine ! J'étais une gamine de 8 ans quand tu nous as rejoint. Avec Danièle, vous m'avez associé à vos projets et vous m'avez encouragée, guidée et soutenue dans les miens. Grâce à vous, j'ai pu m'ouvrir au monde : espace, culture, rencontres, jusqu'ici vaguement appréhendés (mathématique, jusqu'à un certain point). Thierry a pris le train en marche, vous vous êtes bien trouvés tous les deux, en mode blagues foireuses et rigolades. Bref, maintenant, c'est un peu la merde ! Seul, réconfort, on a fait le max pour passer le max de temps ensemble. Pour le reste, la pilule est dure à avaler. Mille baci
6 mai 2020 - Pino e Laurie
Marie e Daniele ho appena saputo e in mente mi risalgono tanti bei ricordi di momenti vissuti con DENIS uno tra tanti il giro delle acque minerali ai castelli dove Marie e Valentine andavano a fare pattinaggio su ghiaccio e noi nel frattempo andavamo a bere alle fonti e non solo il suo spirito resterà in me come tutte quelle persone che mi hanno arricchito con il loro tempo condiviso un abbraccio forte forte a voi e un pensiero perenne a DENIS con affetto fraterno.
13 mai 2020 - Michel S.
Denis, une présence et une bonne humeur indéfectibles, aujourd'hui une absence cruelle
Nous nous sommes rencontrés sur le plan professionnel et, avouons-le, son sérieux dans ce domaine ne souffrait aucun reproche. Je dis avouons-le, non qu'il y ait un doute, mais en raison d'un trait de caractère si marqué qu'il en serait arrivé à le masquer, je veux parler de son esprit de convivialité et de sa joie de vivre qui imprégnaient si bien tout son être. Nous retrouver était à coup sûr un moment de bonheur. Toujours le même entrain, la même envie de partager et d'échanger, toujours surprenant jusqu'à la surprise finale de ta disparition brutale, la seule mauvaise surprise que je t'ai connu, hélas définitive…